Suite à l’article du Monde – Un bar associatif d’extrême droite embarrasse la municipalité d’Angers (https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/05/31/un-bar-associatif-d-extreme-droite-embarrasse-la-municipalite-d-angers_5307432_823448.html) en date du 31 mai 2018, quelques précisions en forme de droit de réponse.
Dans l’article est dit : « Plusieurs bagarres entre « anti-fa » et « nationalistes » ont émaillé l’actualité. La plus récente a opposé une quinzaine de personnes le 5 mai et a nécessité l’intervention de la police.»
A notre connaissance, aucun affrontement entre lesdits groupes a été rapporté. D’après la presse locale (Ouest-France 28/05/2018), l’événement du 5 mai fait état d’une « bagarre » entre habitant·e·s du quartier et les membres de l’Alvarium. Selon nos sources, cet affrontement ferait suite à une provocation raciste de ces derniers. En effet, la violence physique est un trait fort liant ces individu·e·s. Cette violence s’illustrent notamment par deux ratonnades (les 22 novembre 2016 et 5 mai 2017) pour lesquelles certains ont été condamnés par la justice. Une violence répétée ce printemps à l’encontre d’une manifestation (le 17 mars), d’une A.G étudiante (le 3 avril), d’organisateurs d’événements culturels à l’Étincelle (toujours en avril 2018), etc. La violence est le fait d’un seul groupe : les personnes fréquentant l’Alvarium. Que les choses soient dites.